- Création de la Page : Avril 2015.
• Plage après le Phare au Cap ESTÉRIAS :
• Carte de Situation du Cap ESTÉRIAS :
•• LIBREVILLE -> CAP ESTÉRIAS : Environ 25 km, soit environ 30 minutes de voiture. La route a été re-goudronnée récemment et facile grandement le déplacement. Au “revoir“ les trous avec un peu de goudron, qui a prévalu jusqu'à une date récente.
- Le Matériel Photo :
• Toutes les photos ont été réalisées avec le matériel suivant :
---- Appareil CANON EOS 5D MK II avec zoom CANON 28/300 mm F3,5-5,6L IS USM
---- Les macros ont été faites soit avec un appareil CANON EOS 50D, soit avec l’appareil CANON EOS 5D MK II, avec les objectifs CANON 100 mm F4 IS Macro USM et 65 mm MP-E F2,8 1-5x.
---- Flash CANON Speedlite 580 EX II
- Le Trajet :
• Pour y arriver, la route traverse ce qui reste de la forêt protégée qui aujourd'hui, en 2015, s'appelle l'ARBORETUM RAPONDA-WALKER. C'est ce que j'avais appelé dans une page ancienne “La Forêt de la MONDAH“, qu'on peut toujours trouver dans le lien “Autour de LIBREVILLE“.
Ce petit village noyé entre la forêt environnante et l'Océan Atlantique, est la Pointe extrême Nord-Ouest qu'on peut atteindre par voie terrestre, à partir de Libreville. On tombe sur la rive gauche de la baie de la Mondah, vaste estuaire qui sépare cette grande langue de terre qui englobe Libreville, Ntoum et le Cap Estérias. Au-delà, on est sur la partie du continent qui conduit à Cocobeach, dernière ville avant la Guinée Equatoriale.
Au Cap Estérias, on trouve l'ENEF (École Nationale des Eaux et Forêts) qui est aujourd'hui, enfermée dans une vaste enceinte. Lorsque je l'ai connue dans les années 70, les logements des professeurs étaient au milieu d'une vaste pelouse accessible et nous permettait, à mes amis et moi, de passer un après-midi de rêve à la plage toute proche.
Au milieu de la verdure, on trouve des restaurants, comme le “Le Bantu“ avec une mare pleine de Nénuphar et de poissons, des bars, comme le “Beach Paradise“. “La Marée“ est certainement le plus connu et le plus ancien restaurant. Il possède une plage privative qui jouxte la salle principale. Beau cadre. Plus haut, une tour qui est un ancien phare. Ensuite une anse qui permet aux pirogues de partir à la pèche. Elle se prolonge par une vaste plage qui est cernée par des habitations sur les premiers 500 mètres. Au loin on devine le parc à huitre.
Au milieu du sable, on trouve de vastes plaques rocheuses qui ressemblent à des marnes ou des grès alvéolés. Des paquets d'algues et sur les excroissances rocheuses qui s'éloignent en mer, des colonies d'oiseaux, dont on devine :
…. Chevalier Aboyeur / Tringa nebularia
…. Guifette Noire / Chlidonias niger
…. Sterne Royale / Sterna maxima
…. Tournepierre à Collier / Arenaria interpress
puis des coquillages en colonies, avec beaucoup de :
…. Littorinidae / Littorina cingulifera
…. Littorinidae / Littorina sp
Des arbres, en particulier :
…. Des Badamiers / Combrateceae / Terminalia catappa)
…. Palmier cocotier / Cocos nucifera qui prolifèrent sur toutes les plages
…. Ficus Etrangleur / Moraceae / Ficus sp
• Le CAP ESTÉRIAS / Jean-Louis ALBERT / Mars 2015
__________________________________________________________________________________