- Le PARC NATIONAL de l'IVINDO Vu du Ciel :

- Création de la Page : Janvier 2008.

• Le survol du Gabon en petit avion de tourisme. La forêt, les pistes et la savane vus du ciel. Des images étonnantes.

• A partir de la ville de MOANDA, dans le sud-est du GABON (près de Franceville), un petit avion monomoteur Cesna, va nous emmener jusqu'à la ville de MAKOKOU, dans l'Ogoué-Ivindo.


Prairie au coeur de la forêt Gabonaise :



Carte du Trajet en Avion :




- Le Matériel Photo :

• Toutes les photos ont été réalisées avec le matériel suivant :
---- Appareil CANON EOS 5D avec zoom CANON 28/300 mm F3,5-5,6L IS USM
---- Les macros ont été faites avec un appareil CANON EOS 50D avec les objectifs CANON 100 mm F5,8 Macro USM et 65 mm MP-E F2,8 1-5x.
---- Flash CANON Speedlite 580 EX II








- Le TRAJET :
• Le trajet en avion, de MOANDA à MAKOKOU est long d'environ 270 km, en passant par MOUNANA, LASTOURVILLE. L'aller / retour va durer à peu près 4 heures.
Sur la carte ci-dessus, le report du trajet GPS est figuré en bleu.

GABON-Vue-du-Ciel-Chutes-de-KONGOU-8EIMG_14925WTMK-web
- Le VOL :
• Le paysage de savane est présent tout le long du trajet jusqu'à Mounana, pour faire place petit à petit à de la forêt dense, qui est continue sur plus de 200 km, à perte de vue, que ce soit à droite ou à gauche de l'avion. Après avoir dépassé Lastourville, nous allons survoler uniquement de la forêt, tout en suivant le fleuve Ogooué et la voie de chemin de fer (Libreville / Franceville) pour des raisons de sécurité.
Nous allons ainsi tomber au confluent des fleuves Ogooué et Ivindo. Les eaux noires du second se mêlent sur plusieurs km en aval, aux eaux boueuses de l'Ogooué.
Après avoir atteint ce confluent, nous obliquons vers l'est. On va survoler, tout de suite après, le village IVINDO et les chutes de TSENGUE LELEDI, dont la hauteur ne dépasse pas 7 à 8 mètres. Puis après une cinquantaine de km, nous atteignons les chutes de KONGOU, qui à cette période, sont en pleines eaux. Ce sont incontestablement les chutes les plus spectaculaires d'Afrique Centrale. Un quart d'heure plus tard, nous arrivons à MAKOKOU.








FRANCEVILLE / Jean-Louis ALBERT / 27 Janvier 2008