- PARC de la LEKEDI 1 :

• Le parc se situe dans la ville de Bakoumba, à 110 km au sud-est de Franceville. Au départ de Franceville, on prend la route de Moanda, puis on bifurque vers le sud en direction du Congo.
Bakoumba était le centre névralgique pour la maintenance de l'ancien téléphérique, long de plus de 80 km (le plus long du monde), et qui amenait une partie du manganèse sur M'Binda, au Congo, pour être exporté via le port de Pointe-Noire.
Au début des années 90, l'exportation par le Congo a été abandonnée. Le manganèse est évacué par le Transgabonais, via le port d'Owendo.
Aujourd'hui, après une reconversion, la ville s'est tournée vers le tourisme, par l'intermédiaire de la structure du Parc de la Lékédi.

Un Mandril mâle Alpha Montrant les Dents :

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- Le Parc de la LEKEDI 1 / Les MANDRILS : (Animation)



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• Dans ce vaste parc, on trouve une énorme colonie de mandrils. Ils s'agit bien souvent de jeunes qui ont été regroupés dans cette réserve, et dans laquelle ils ont retrouvés les structures de leurs sociétés. Certains ont été re-introduits, au même titre qu'un autre groupe de chimpanzé qui occupent la forêt.
Ils vivent en communauté, sous la direction d'un mâle dominant qui est facilement reconnaissable par les couleurs vives, dans les tons bleu et rouge des fesses. Le mâle dominant est toujours en conflit avec d'autres mâles qui veulent prendre sa place. Les combats, s'ils ne sont pas souvent mortels, laissent d'énormes cicatrices. Les blessures sont souvent visibles sur les pattes, ou au visage. Leurs énormes canines ne laissent aucun doute sur l'efficacité de leurs morsures. En échange de leurs prérogatives, les mâles dominant protègent l'ensemble de la communauté, et n'hésitent pas à faire face à tous les dangers. Lorsqu'on les approche, leur attitude est caractéristique : bien souvent assis et les pattes de devant bien tendues, ils inclinent brusquement la tête vers l'avant et la redresse aussitôt. C'est la marque de défense. A partir de cet instant ils peuvent attaquer si le danger se montre menaçant.
Pour voir le groupe, c'est assez aléatoire, mais les guides connaissent parfaitement les habitudes des singes. Ils nous emmènent donc vers les différents endroits susceptibles de les trouver.

Finalement, le soir, à la tombée de la nuit, nous finirons par tomber sur le groupe de mandrils, qui vont se laisser approcher facilement.




BAKOUMBA / Décembre 2006 / Jean-Louis ALBERT




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- PARC de la LEKEDI 2 :

• Il s'agit d'un autre voyage au Parc de la LEKEDI avec d'autres randonnées.









• Durant cette visite, on va passer une nuit sur le pylône d'observation au milieu de la forêt, suivi d'une marche en forêt et une promenade en bateau.

- Le TRAJET :

• Sur la carte ci-dessus, j'ai reporté les trajets GPS sur une carte géo-référencée, afin de matérialiser le circuit effectué.

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Trajet BAKOUMBA -> Pylône : Environ 55 km en voiture (Tracé en rouge sur la carte).
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Marche en forêt à partir du pylône : Environ 6 km, soit 2 heures de marche avec des observations (tracé en violet sur la carte).
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Promenade en bateau sur le lac : Environ 4 km (Tracé en bleu sur la carte).

- Le Parc de la LEKEDI / Les ANIMAUX :
• A partir de l'hotel à Bakoumba, nous partons vers 15h30 avec le guide Chedel, originaire de la région, et qui sert en même temps de chauffeur. Quelques kilomètres après nous rentrons dans le parc de la Lekedi, dans la réserve 1.
Ce parc est divisé en 3 modules ou réserves et il est séparé de l'extérieur par une très longue clôture qui en défini le périmètre. Chaque réserve est également délimitée par une clôture et l'entrée se fait par des portes fermées qui permettent de passer de l'une à l'autre. Cette structure permet d'avoir deux premiers modules plus petits, mais néanmoins assez grand, pour que la faune soit en totale liberté. Leur longueur doit avoisiner les 10 kilomètres. Ils sont surveillés facilement, ne sont pas braconnés, et on peut voir très facilement des animaux (buffles, impalas, sitatungas, guibs, mandrils, chimpanzés mais pas d'éléphant). Sont également présents, mais plus difficilement observables, des panthères et des gorilles. On peut approcher sans trop de difficultés les buffles. L'herbe de la savane est parfois taillée dans certains endroits, et facilite la visibilité. Il y a bien sûr des sitatungas mâles, mais ils sont plus difficiles à voir. On peut les observer soit par temps de pluie, soit le matin ou le soir.
Le troisième module est réellement sauvage. La nature y forge elle-même ses lois et l'homme intervient très peu. C'est dans ce module de plus de 20 km de long, que nous allons pénétrer pour nous rendre au pylône.
Cette réserve est un mélange de savane touffue pratiquement impénétrable, et de forêts. Nous suivons la clôture sur quelques kilomètres, puis nous obliquons vers l'intérieur du parc. Nous passons plusieurs savanes et forêts qui nous permettent d'observer un
nid d'aigle et nous grimpons au sommet d'une colline, où est installé le pylône.

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- Le PYLONE :
• Il s'agit d'un pylône de récupération de l'ancien téléphérique de la Comilog, reliant Moanda à Mbinda au Congo. Il a été rénové puis a été encastré au sommet de cette colline. Il a ensuite été aménagé en dortoir. Bien que spartiate, la chambre comporte plusieurs matelas, avec 2 jeux de 2 lits superposés. De petites fenêtres à volets basculants ont été installés et lorsqu'on est sur les lits du haut on a en permanence de l'air frais la nuit. Cet endroit est incontestablement sauvage et attrayant. On domine la forêt sur presque 300° et on a une belle vue sur la savane et la forêt.
Arrivés vers 18 h, la nuit tombe très vite. On installe les lits, on sort les lampes tempêtes ainsi que les glacières, pour s'installer sur une petite table à côté du pylône.
Le soir, les bruits de la forêt sont notre berceuse : des crissements d'insectes, des cris d'oiseaux nocturnes, et puis, par moments des cris de chimpanzés, qui ne doivent pas être à plus de 4 ou 500 mètres, dans la forêt. Cette colonie a commencé à s'installer pour la nuit dans un périmètre proche et après avoir fait leurs nids, ils s'apprêtent à passer la nuit. Visiblement, leur société est semblable à la nôtre, car comme me l'explique le guide, des resquilleurs ont pris possession des nids fabriqués par leurs collègues, et refusant de les quitter, provoquent des bagarres. Peut-être ne vont-ils pas jusqu'à l'affrontement mortel, mais au moins jusqu'à un combat où les cris et les intimidations sont les plus importants. Les cris sont caractéristiques des chimpanzés et sont une succession de "hou-hou-hou-hou…" prolongés qui se succèdent de plus en plus vite, en augmentant le timbre et l'intensité.
Le guide me dit qu'il a aussi identifié des cris de gorilles dans une autre direction, mais beaucoup plus loin.

Pour le lendemain, il est prévu de se lever à 5 heures du matin pour attaquer une marche en forêt de 2h environ.
Dans la nuit, à plusieurs reprises, on entend des détonations : ce sont des braconniers qui chassent illégalement dans ce module. Ce sont des coups de calibre 12.
Vers 1 heure du matin, j'entends une rafale d'arme automatique, qui n'a rien à voir avec un fusil de chasse genre calibre 12 ! Le doute n'est pas permis, il s'agit sans doute d'une arme type Kalachnikov, qui a tiré une rafale de 3 balles en automatique. Des armes ou des militaires circulent dans cette réserve. Un aboiement de chien par la suite, puis les bruits étranges de la nuit.

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- La MARCHE :
• Lorsqu'on se lève à 5h et quart, il fait encore presque nuit. Nous attendons plus d'une demi-heure, et vers 6heures on commence la marche. On emprunte une piste qui s'enfonce dans la forêt. On s'arrête de temps en temps à l'écoute des bruits. On entend encore les cris des chimpanzés sur la gauche. On quitte la piste et on rentre dans la forêt, où la marche est facile. Par étape on s'approche des bruits, mais finalement ceux-ci s'estompent et la troupe de chimpanzés à fini par quitter le coin, à la recherche de nourriture. Il n'est pas sûr que nous ayons fait du bruit, c'était peut-être leur projet de se déplacer vers une autre forêt. On renonce à les suivre, car c'est une entreprise difficile et de longue haleine.
On va donc continuer la marche sur 6 km environ en revenant au pylône. Nous apercevons à 2 reprises, des singes qui sautent de branches en branches, mais ils sont en hauteur, difficiles à voir au milieu des branches et s'éloignent à notre approche. Plus tard, nous apercevons aussi 2 gazelles qui traversent la piste. Mas elles fuient très vite. Les animaux sont présents, mais difficilement identifiables.

- Le CIRCUIT :
• Vers 9h, après 2 heures de marche environ, nous reprenons la voiture tout terrain, pour retourner vers l'entrée du parc. En passant dans la forêt, la piste est bloquée par un arbre qui a été déraciné récemment, et qui la barre complètement. Fort heureusement, son diamètre ne dépasse pas 30cm. On va donc le couper de part et d'autre du chemin à la machette. Après 45 minutes d'efforts, on peut enfin pousser le tronc sur le côté. Il fait plus de 6 mètres et il est quand même lourd. On va s'aider de grosses branches, pour faire levier.
En repassant par les modules 1 et 2, nous voyons des
buffles, dont certains sont vautrés dans une mare d'eau saumâtre.

- Promenade en BATEAU :
• Nous revenons l'après-midi dans le module 3 pour faire une promenade en bateau. La rivière La LEKEDI, qui a donné son nom au parc, a été barrée à un certain endroit, et les eaux se sont accumulées en amont pour former un lac artificiel. Une partie de la forêt a été envahie, et a donné lieu à ce champ de troncs pourrissant. Dans cete vaste zone d'eau calme, les troncs percent la surface. Sur les côtés on peut voir des nuages de nénuphars. Cette ballade de 4 km environ se fait avec un moteur électrique qui ne fait pas de bruit, et qui permet d'approcher les oiseaux du lac. On trouve une grande colonie de cormorans, ainsi que des aigles pécheurs et des hérons. Sur les fourches de nombreux nids ont été construits. A notre passage, ils s'envolent pour aller se poser un peu plus loin. En contrebas du barrage, on trouve des bassins qui permettent l'élevage des tilapias (poissons d'eau douce).

- Le VIVARIUM :
• Près de l'hôtel, il y a un vivarium où on peut encore observer des serpents. Une vipère à corne, un cobra et un énorme python qui venait d'être capturé après avoir avalé une antilope. On peut voir aussi des crocodiles nains qui ne sont pas de la région.




BAKOUMBA / Jean-Louis ALBERT / Janvier 2008.


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- PARC de la LEKEDI 3 :

- Création de la Page : Décembre 2009

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• Au sein du parc de LEKEDI, a été créé un îlot de végétation conçu pour permettre à un groupe de chimpanzés de vivre quasiment à l’état sauvage. Sur une forêt de plusieurs hectares, ceinturé par une clôture électrifiée, un groupe de chimpanzés peut évoluer librement. Il s’agit d’un vallon surmonté d’un pont en câble, tendu d’un versant à l’autre. La traversée de ce pont permet de naviguer au niveau des plus hautes branches des arbres, à plus de 30 mètres, au-dessus du niveau du sol. On se trouve à la même hauteur que les chimpanzés qui sont dans les arbres. Ce groupe de plus d’une trentaine d’individus comporte beaucoup de jeunes orphelins qui sont re-acclimatés à une vie à demi-sauvage. Ils s’agit de jeunes singes, dont les mères ont été tuées par des chasseurs. Après une quarantaine, pour vérifier qu‘ils ne sont pas contaminés par le SIV, ils sont introduits dans le parc.

Les adultes sont de plus en plus difficiles à garder dans cette vallée, malgré les protections (Clôture et fils électrifiés). La solution adoptée sera de créer une île, en coupant un morceau de terre afin d’isoler une presqu’île. Ce morceau de terre de plusieurs centaines de mètres de longueur va va ainsi être séparé de la terre et créer une île artificielle naturelle, au milieu du lac. Une dizaine de mètres environ séparent l’île de la terre ferme. Cette distance est suffisante pour isoler les singes qui n’aiment pas l’eau et créer une min-réserve de chimpanzés. Les groupes adultes, mâles et femelles, se sont reconstitués et sont seulement nourris. Cette solution va permettre de se trouver face aux chimpanzés, mais sans aucun risque, puisque une étendue d’eau les séparent de nous. On sait que les chimpanzés ayant connu l’homme, sont très dangereux, dans la mesure où ils n’ont plus peur d’eux, puisqu’ils les connaissent.




BAKOUMBA / Jean-Louis ALBERT / 22 Novembre 2009.


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- PARC de la LEKEDI 4 - l’Ile aux CHIMPANZES :

- Création de la Page : Février 2010


• La réalisation de cette île, part de la nécessité de séparer les adultes, difficiles de maintenir dans un endroit clôturé, même grand, et l’obligation de protéger les visiteurs. Le pont et sa vallée vont se révéler très adapté aux petits singes, mais ne pourra pas suffire aux adultes. En effet, les chimpanzés adultes sont très intelligents et pleins de ressources pour trouver des solutions d’évasion. La décision sera donc prise par le responsable du parc, de réaliser une île au milieu du lac existant. Ce lac, dans le module 3, est le résultat d’un barrage fait pour créer des piscicultures permettant l’élevage des Tilapias (petits poissons d’eau douce). Ce barrage comporte des vannes permettant de régler le niveau de l’eau. Techniquement, ils vont ouvrir les vannes, assécher le lac, et permettre à un engin de chantier, de creuser dans la terre un chenal assez profond, qui va isoler, une fois les eaux remontées, une bande de terre qui deviendra l’île. A la fermeture des vannes, on aura donc une île semi-artificelle de plusieurs centaines de mètres de longueur, recouverte de forêt, et qui sera le lieu idéal, pour l’acclimatation d’un groupe de chimpanzés. Ce chenal de presque 10 m isolera l’île est ses habitants, tout en permettant d’observer presque en continu, les singes qui sont de l’autre côté. Il est à noter que les animaux ont une grande île pour eux, et leur observation, bien qu’elle soit relativement aisée, n’est pas toujours garantie. La nature garde toujours une part de ses droits. En fait, il faut attendre la période de nourrissage, pour les voir affluer à proximité.





BAKOUMBA / Jean-Louis ALBERT / Janvier 2010.


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- PARC de la LEKEDI 5 - Les Gorilles :

- Création de la Page : Mars 2011.


• Parmi les effets négatifs de la chasse, un des plus sensibles, est le nombre d'animaux orphelins qui sont abandonnés. On trouve donc assez souvent, des personnes, chasseurs ou proches des chasseurs, qui amènent vers les autorités, des animaux dont les parents ont été tués lors d'une chasse. C'est dans ce contexte, que plusieurs petits gorilles sont arrivés, il y a plusieurs mois déjà, au Parc de LEKEDI, afin d'être re-inséré dans le milieu naturel. Une quarantaine sanitaire de plusieurs semaines est appliquée, en général par le Centre de Primatologie du CIRMF à Franceville, afin d'éliminer tout risque infectieux. A la fin de cette période de test, les primates sont acheminés sur leur lieu de vie.
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C'est ainsi que ces gorillons, sont arrivés sur un espace de temps de plusieurs mois, au Parc de Lekedi. Ils sont actuellement, en février 2011, sur une presqu'île, et entourés par un animalier qui s'occupe d'eux. A terme, la réalisation d'une île, au milieu du lac artificiel, permettra de leur assurer une liberté totale de mouvement et de vie, sans intervention humaine, si ce n'est un apport régulier de nourriture et une présence sanitaire, afin de faire face à toute maladie. Aujourd'hui, on peut les approcher en barque, et les côtoyer sans risque, ni pour les visiteurs, ni pour eux.
Même si on a toujours à l'esprit que l'homme n'est pas loin, cette solution a le mérite de montrer aux visiteurs, des primates en presque totale liberté et de leur permettre de les approcher. Il faut avoir à l'esprit que le Gabon est le pays au monde qui possède la plus grande concentration de gorilles. Or l'expérience, c'est-à-dire les marches en forêt, prouve qu'il est extrêmement difficile, voire quasi impossible de voir des gorilles dans leur milieu naturel. Ils fuient toute présence étrangère. Cet endroit est donc un des rares sites au Gabon, où il est possible de les approcher avec certitude. Un atout incontestable pour le Parc de LEKEDI, et surtout un moment inoubliable pour l'observateur.












BAKOUMBA / Jean-Louis ALBERT / Dimanche 27 Février 2011.


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- PARC de la LEKEDI 6 - Le Sentier Botanique :

- Création de la Page : Avril 2011.

Carte Marches vers la Cascade et le Sentier Botanique :



- Le TRAJET :
•• Entrée Parc -> Début Marche : Environ 7,5 km.
•• Marche Sentier Botanique : Environ 1,9 km, soit 1h 20 minutes de marche. Mais ce temps peut varier suivant le rythme.



• A moins de 8 km de l'entrée du Parc de Lekedi, il existe un magnifique Sentier Botanique, qui permet, lors d'une marche sans difficulté, de voir plusieurs essences d'arbres, parmi les plus représentatives de la forêt gabonaise. L'intérêt de cette excursion, est de pouvoir associer sur ces arbres, un nom. Près de ces espèces, existe une borne avec une fiche comportant la description et les principales caractéristiques. Un herbier grandeur nature.





BAKOUMBA / Jean-Louis ALBERT / Samedi 02 Avril 2011.


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- PARC de la LEKEDI 6 - La Cascade :

- Création de la Page : Avril 2011.




- Le TRAJET :

•• Entrée Parc -> Début Marche : Environ 9,8 km.
•• Marche vers la Cascade (Aller) : Environ 650 m, soit 30 minutes de marche pour aller (soit environ 1500 m, aller / retour). Mais ce temps peut varier suivant le rythme. La randonnée, aller / retour vers la cascade peut durer légèrement plus d'une heure.



• Après être rentré dans le module 3, on part en direction du nord, vers le débarcadère conduisant vers l'île aux chimpanzés. Un peu avant d'y arriver, on s'arrête sur le chemin. Un portillon cadenassé permet de sortir du parc, pour emprunter le sentier qui mène à la Cascade. Il y a moins de 10 km de piste à faire pour arriver au point de départ. La marche en forêt est aussi intéressante comme dans le cas du sentier botanique. Pour atteindre la cascade on dévale la colline. La marche en elle-même n'est pas longue, moins de 2 km (aller / retour), mais la descente de l'aller doit être, bien entendu, remontée au retour. Si on veut voir aussi le départ de la cascade, il faut grimper 50m de dénivelé en plus. Au total, cette excursion, exige de monter entre 150 et 200 m de dénivelé. Mais en le faisant à son rythme, il n'y a aucune difficulté. Tout le sentier est ceinturé par un câble qui suit les marches et qui permet de s'agripper pour ne pas glisser.






BAKOUMBA / Jean-Louis ALBERT / Dimanche 03 Avril 2011.


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